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2 commentaires

    1. J’aime la natte pour le soin qu’elle réclame et la toison pour l’abandon qu’elle révèle. La première montre l’ordre et la sagesse, la seconde renferme le désir et le nacre dans ses plis. J’ai dit ailleurs ma nostalgie. Les pilophobes — certaines intégristes — nous privent de leurs mystères. Bienheureux quand de surcroit elles ne sont pas percées ou tatouées… Merci de votre commentaire Célestine.

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