


2 commentaires
L’air était à bout de souffle et la poussière scintillante, soulevée par leurs pas, resta suspendue. Ils étaient là, délicieusement pris dans la lumière de l’été sans savoir s’ils avançaient ou reculaient. Le sens de l’éternité, par distraction, venait de les investir. Ils étaient délivrés…
bonsoir je ne me lasse pas de regarder vos dessins de plage ( envie de vous copier)
et vos écrits sont pleins de vos crayonnages
j’adore merci
Bonsoir Marie,
Je suis ravi que ces dessins vous plaisent et vous inspirent. Ne me copiez pas : sortez vos carnets de croquis et risquez-vous, ce sera bien plus riche et bien plus valorisant pour vous. Ces images seront les vôtres et vous ne devrez rien à personne. Les dessins s’appellent les uns, les autres. On ne sait jamais ce qui va advenir. Quant aux mots qu’on pose dessus, ils permettent d’y voir plus clair, de préciser une pensée parfois vacillante. C’est un même plaisir, comme vous le savez sans doute. Merci d’avoir pris la peine de me laisser ce commentaire.
A très bientôt j’espère.