Exit for passagers…

il y a 18 ans

J’ai raclé mes palettes, égrené mes enduits, trié mes papiers, taillé mes crayons, savonné, trempé, séché mes pinceaux, lavé mon chevalet à grande eau. J’ai chargé mon mp3 avec Marc Moulin, Paolo Fresu, Justice, Sigur Ro’s, Mancini et j’ai ajouté aussi quelques podcasts d’émissions de Finkielkraut et de Noudelmann. J’ai refait les niveaux, regonflé les pneumatiques et mis du gas-oil dans mon Kangoo gris cabossé. Dans son papier cristal j’ai retrouvé un vieux truc de Colette, l’entrave,  dont je retiens la lecture depuis trop longtemps. Inquiet pourtant, sous mon coude, j’ai mis deux romans d’Harrison… Ah ! J’ai aussi acheté du paracétamol, de l’apaisyl, des sparadraps, de la crème solaire et des lunettes mouches pour Lou…

On fait le break d’été, c’est la mi-temps, on s’arrache. Retour dans quinze jours, ou trois semaines, ou peut-être même un mois. Nan mais… Cette année, pas de Nièvre… Nous irons plutôt traîner nos tongs à fleurs du côté des  bâtiments de Balladur (les amateurs nous comprendront, tous les autres, sottement, nous mépriseront…)

Mais je penserai à vous tous, visiteurs, artistes, amis qui avez fréquenté avec régularité ce blog. J’espère bien vous retrouver bientôt, avec d’autres travaux et de nouveaux commentaires improbables… Car j’ai pris goût à vos venues… Allez, j’entends le moteur qui ronronne, faut que j’y aille… La grosse bise à tous… Et à plus… Soluto…


L’image d’été de Coconino…

il y a 18 ans


Je suis le responsable de l’image d’été de Coconino et j’en suis très heureux…

L’image "brute" se trouve
(c’est une acrylique sur panneau de 42×29,7cm)

Et l’on peut aussi cliquer sur:

Groupes n°1
Groupes n°2
Feuilles de Routes
Morceaux Choisis

pour retrouver mes portfolios chez CoconinoWorld…

Quelques petits problèmes de messagerie m’ont sûrement fait rater quelques mails. J’en suis désolé. Théoriquement, c’est réparé…

Escalier?

il y a 18 ans

Du moins était-ce la question que je me posais ce dimanche après-midi là… Et finalement non, elle n’y était pas… Alors je suis reparti vers la plage, proposer mes mauvais jeux de mots à d’autres moins farouches…