Hear the coyote callin’ lonely
From the rim so high above
And the whisper of the breezes
Like a tender, cowboy love.
Hear the coyote callin’ lonely…
il y a 24 heures
‣ Rubrique : Paysages…
Actuellement à la Galerie Huberty&Breyne…
il y a 2 semaines
Road trip collectif depuis Bruxelles à travers l’imaginaire de plus de quarante artistes.
Cet été, la galerie Huberty & Breyne invite à un grand voyage avec ON THE ROAD AGAIN, une exposition collective qui célèbre le thème universel du départ.
Commissaire David Merveille.
C’est du 20 juin au 19 juillet 2025. Plus de quarante artistes, confirmés ou émergents, livrent leur vision singulière du voyage, entre réalité et imaginaire.
J’y présente quelques huiles, des fusains.
Mais venez donc ! Vous ne perdrez pas votre temps.
Ci-dessous Nocturne, 30 cm x 40 cm, 2025
Prix sur le site de la Galerie Huberty&Breyne (clic)
On The Road Again à la galerie Huberty Breyne, Bruxelles…
il y a 4 semaines
Sous la houlette de David Merveille, cette belle exposition intitulée ON THE ROAD AGAIN.
De grands noms de l’illustration sont sur le ruban de bitume. J’en suis aussi.
Préparez vos valises, nous vous attendons à la Galerie Huberty & Breyne
EXPOSITION
Du vendredi 20 juin au samedi 19 juillet 2025
Bruxelles | Châtelain
33, place du Châtelain
Motor Home
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Under The Bridge…
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Une rue de Los Angeles…
il y a 5 mois
Le Havre, fac-similé, plaisanterie numérique…
il y a 6 mois
Six pages de cahier, paysages à l’encre de Chine, novembre 2023…
il y a 2 ans
Récapitulatif. Six pages de cahier, premiers jets en vue de dessins plus élaborés en forme d’estampes japonaises… Certains sont encore disponibles (mp please)
Six pages de cahier
Encre de chine, 20 x 28 cm à peu près
Encre de chine, 20 x 28 cm à peu près
Encre de chine, 20 x 28 cm à peu près
Encre de chine, 20 x 28 cm à peu près
Encre de chine, 20 x 28 cm à peu près
Encre de chine, 20 x 28 cm à peu près
Paysages havrais…
il y a 2 ans
Et l’on apprend un jour, presque par hasard, que Schopenhauer a passé quelques années de sa jeunesse, deux ou trois, au Havre, et qu’elles furent heureuses. Je cherche et rien. Pas un boulevard, pas une rue, pas une place, pas un lycée – lui qui aimait tant l’étude – ne porte son nom. Pourtant quelle gueule ça aurait !
Je suis trop négligent pour demander à Doudou une audience afin qu’il répare cette bourde, mais si d’autres s’en chargent ils auront mon meilleur sourire.
Le Havre, donc, au crayon, à l’encre, à toute vitesse, dans mon cahier Canson
(Canson ne leurre, je me souviens des jours anciens et je pleure)
Mise en couleur numérique
Nocturne, rue d’Ingouville…
il y a 3 ans
