C’était son regard d’inhumaine…

il y a 7 ans

nu, acrylique, board, grey, painting, body, soluto

30 cm par 40 cm, acrylique sur panneau, 2018

C’était son regard d’inhumaine
La cicatrice à son cou nu
Sortit saoule d’une taverne
Au moment où je reconnus
La fausseté de l’amour même

Guillaume Apollinaire

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8 commentaires

    1. L’incandescence des oranges et des roux, la cendre froide tamisée des joues, la braise. Un baiser de glaçon. Ravi de votre passage et de votre commentaire chère Amélie…

  1. « Voie lactée ô soeur lumineuse
    Des blancs ruisseaux de Chanaan
    Et des corps blancs des amoureuses » …

    Le faux amour…m’en parlez pas !
    Bien à vous, cher Soluto
    ¸¸.•*¨*• ☆

    1. Dans nos regards ensanglantés la lune se penche. Elle trempe ses bouches de cratères et distribue des baisers muets. Rien ne renaît d’une boue de sang, de cendre… La fausseté de l’amour même.

  2. Que de regards croisés, quand c ‘est encore possible, ressemblent à celui – ci !
    Ou est-ce le mien posé sur ce monde empli d’effroi ?
    Bien à vous.

    1. Toute la question est là Françoise… Est-ce nous qui sommes effrayants et qui cueillons en retour ces regards effarés ? Allons… Belle journée à vous tout de même…

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