> Sans doute Flora… Le même coiffeur et la même crainte quand le barbu revient bourré…
> Oh, vous savez Cécile, je ne suis pas sourcilleux… De toute façon, quand on appelle l’un, les deux se retournent…
> Et le bonhomme pareil… Non, j’ai pas dis ça… Faut dire, mon cher Reno (quelle curieuse coquetterie que cette orthographe pour votre prénom…) que vous l’avez cherché!
Penser que Tintin puisse frétiller de la queue est difficilement pensable (pour ne pas dire sacrilège). J’avoue que petite, je n’y songeais même pas : Tintin était jeune, aventurier et ne s’intéressait pas aux filles. Il aimait Tchang. (lui-même aimé et enlevé par le yéti-migou) (AAAAaaah le migou !!)
Avec sa cravate, ses vernis & son teint de poupin, il a aussi un côté Prince Eric rabougri, le Milin à son toutou : ces catho-scouteries pour la jeunesse des mêmes sinistres années, entre-deux, qui virent la naissance du reporter caninophile. D’autres blondinets propres sur eux le poil ras faisaient alors de plus lugubres parades. (Mais c’est la belle lumière où ils sont qu’on envie : un soleil à pépier des oiseaux)
> Le mien, Cécile, se fiche aussi des filles… Sa libido reste muette et ses pensées sont immaculées. Il n’a pas de mission, ne sauvera pas le monde et se contente d’un peu de figuration dans mon blog, à l’occasion… A sa manière il est aussi décevant que le vrai…
> Quant à l’imaginer sensible aux propos eugénistes, catholiques et intégristes, cher Arsaber, c’est encore se tromper. Il est con comme la lune (peut-être marchera-t-il un jour dessus pourtant…) n’a ni histoire ni culture, ne vient de nulle part et n’a pas de destination… Je laisse les divagations scoutes au gars Joubert… Si vous saviez comme l’héroisme, même petit modèle, m’ennuie…
Celle-là, crois moi, elle a une patte dans le sac mais elle n’en perd pas une miette. Elle aussi, malgré son sourire au miel, elle surveille… Et si elle pouvait baver aux condés de la municipale quelque exaction enfantine elle ne se gratterait pas.
Il avait répandu tant de souffrance et donné tant de son temps, de son argent et de son énergie qu’il lui était devenu impossible de se dédire ou de se reprendre. Et la peur de ne jamais se redresser, pour un jour marcher droit, commençait à grandir…
Ils ont le même coiffeur!
Amicalement, cher Soluto.
huhu !
Mais … Toutou, c’est le monsieur ou bien le chien ? qui est qui ? Je m’y perds …
il a une tête à remuer la queue ce chien !
> Sans doute Flora… Le même coiffeur et la même crainte quand le barbu revient bourré…
> Oh, vous savez Cécile, je ne suis pas sourcilleux… De toute façon, quand on appelle l’un, les deux se retournent…
> Et le bonhomme pareil… Non, j’ai pas dis ça… Faut dire, mon cher Reno (quelle curieuse coquetterie que cette orthographe pour votre prénom…) que vous l’avez cherché!
Penser que Tintin puisse frétiller de la queue est difficilement pensable (pour ne pas dire sacrilège). J’avoue que petite, je n’y songeais même pas : Tintin était jeune, aventurier et ne s’intéressait pas aux filles. Il aimait Tchang. (lui-même aimé et enlevé par le yéti-migou) (AAAAaaah le migou !!)
Avec sa cravate, ses vernis & son teint de poupin, il a aussi un côté Prince Eric rabougri, le Milin à son toutou : ces catho-scouteries pour la jeunesse des mêmes sinistres années, entre-deux, qui virent la naissance du reporter caninophile. D’autres blondinets propres sur eux le poil ras faisaient alors de plus lugubres parades. (Mais c’est la belle lumière où ils sont qu’on envie : un soleil à pépier des oiseaux)
> Le mien, Cécile, se fiche aussi des filles… Sa libido reste muette et ses pensées sont immaculées. Il n’a pas de mission, ne sauvera pas le monde et se contente d’un peu de figuration dans mon blog, à l’occasion… A sa manière il est aussi décevant que le vrai…
> Quant à l’imaginer sensible aux propos eugénistes, catholiques et intégristes, cher Arsaber, c’est encore se tromper. Il est con comme la lune (peut-être marchera-t-il un jour dessus pourtant…) n’a ni histoire ni culture, ne vient de nulle part et n’a pas de destination… Je laisse les divagations scoutes au gars Joubert… Si vous saviez comme l’héroisme, même petit modèle, m’ennuie…