
… Tic! a-tac-tac-tac! touc! touc! calipataclac! fluc-flac!…
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Les voies délicieuses du salut et de la perdition (4)…
«… Ceci s’adresse à l’Artiste : cette femme-là me semble le type de la femme avec tous ses instincts, un orchestre de sentiments femelles. Or pour entendre l’orchestre on ne se met pas dedans, mais au-dessus, au fond de la salle. »
Flaubert à Louise Colet, 7 mars 1847
Samedi en Normandie, la pluie qui s’oublie sur mes vitres, le thé qui refroidit trop vite, les Delacre qui s’effritent et les miettes d’amande qui se mélangent aux chiures de gomme. Plus tard la Duvel au goulot et le jambon cru chiffonné dans son papier, le saucisson à l’ail fumé, le riz camarguais, d’hier, tassé dans un ramequin de porcelaine, une pomme et trois noix… Voluptés de la nutrition, joie de la solitude. Dessiner méchamment.
Encre de chine, couleur numérique, 15 cm x 21 cm
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« so weird » cette série. Etonnant.
Mais c’est du délire…
J’adore cette série!
Quand est-ce que c’est édité chez les rêveurs ou cornélius nom de dzouss!!
> Bonjour à tous… Content que cette série vous plaise… J’ai encore plein de dessins dans mes Faber et Staedtler…
> Ben oui Aby… Parfois le dessin se met à vivre sa propre vie et décolle de la réalité. Et ce sont des moments délicieux…
> Ah Guillaume, vous vous doutez bien que je ne snoberais pas une publication, mais loin de tout, n’ayant pas le culte du réseau et n’allant pas au devant des éditeurs je n’en rêve même plus… Je vous rappelle néanmoins qu’il y a quelques mois, aux Enfants Rouges, j’ai illustré d’une trentaine de lavis une nouvelle d’Incardona intitulée Dans les Cordes…