« Il est rare qu’on ait assez d’esprit pour mépriser l’approbation d’un sot. »
Taille de Gaubertin
https://www.facebook.com/soluto.peinturesdessins/videos/1937578359648381
« Il est rare qu’on ait assez d’esprit pour mépriser l’approbation d’un sot. »
Taille de Gaubertin
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« Les épinards sont bons ». Cette phrase est un excellent exemple de parole perverse. En réalité les épinards ne sont pas bons, ils sont verts.
Dire que les épinards sont verts c’est utiliser une qualité d’objet ; affirmer qu’ils sont bons, c’est faire passer une opinion personnelle pour une qualité d’objet.
Robert Neuburger
https://www.facebook.com/soluto.peinturesdessins/videos/1933166033422947
Carnet de croquis et de foutaises, laboratoire (car si je l’aime à Paris je l’abhorre à Thouars), fusion style et hoax…
La vérité est un concept inventé par un menteur
Heinz von Foerster
https://www.facebook.com/soluto.peinturesdessins/videos/1930660250340192
Hier j’étais l’invité de Melanie Croubalian… Nous avons parlé de mon roman Redites-moi des choses tendres. Et puis, de fil en aiguille, pendant une heure, nous avons évoqué quelques souvenirs d’enfance, des joies et des chagrins d’amour, la peinture, la littérature. Quelques chansons, quelques documents sont venus ponctuer cette conversation. Je remercie vivement Mélanie de sa délicatesse et de la qualité de son écoute…
Le podcast est ci-dessous… Parlons donc d’amour…
Au Café du Petit-Palais :
Tout est bon ? Le son ? Le vent ne gêne pas ? Essayez voir de glisser le micro sous la chemise… Allez-y, dites quelque chose… Ah oui, c’est nettement mieux… Bon, on y va ?
Prêt?
« paf ! »
Ça tourne…
Dessin Quotidien #2, Soluto from jérôme le goff on Vimeo.
A l’occasion de Dessin Quotidien #2 Jérôme Le Goff est venu me poser quelques questions à l’atelier.
Il a installé ses lumières, ajusté son réflex et il s’est assis sagement derrière le gros œil noir. Avec un bon sourire il m’a posé sa batterie de questions. Quand je croisais son regard il opinait toujours du chef, pour m’encourager sans doute. Tout s’est très bien passé.
Il s’est ensuite déplacé très respectueusement dans mon petit local afin de capter d’autres images, de courtes séquences, pour les fameux plans de coupe. Pas un papier n’a été soulevé, un carnet feuilleté, ni une toile photographiée sans mon consentement.
Délicat le garçon.
Après on a bu un café, j’étais un peu éberlué d’avoir tant parlé, il a démonté son matériel. Il avait ce qu’il lui fallait dans sa carte mémoire.
On s’est salués sur le pas de ma porte.
Ensuite je crois qu’il est allé promener son chien à la plage.