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8 commentaires

  1. Tiens! une plante verte! posée comme ça , bien au milieu ….
    Je ne sais pourquoi je suis au bord de l’éclat de rire….
    Vous m’amusez, cher oiseau…. En tout cas c’est magnifique.
    Bien à vous.
    Françoise.

    1. Méfiez-vous quand même des rires immotivés… Ils ne sont pas toujours de bon augure… Merci néanmoins du compliment. A bientôt Françoise…

      1. Non, je n’ai pas ri, cette plante verte, nouvelle dans votre oeuvre, enbocalée dans sa transparence, inaccessible ,faisait la part belle à d’autres belles plantes de sève féminine.
        Bien à vous l’oiseau.
        Je suis en train de lire votre roman.
        Françoise.

        1. Bonne lecture chère Françoise… Vous croiserez dans ces 500 pages d’autres plantes, des vénéneuses et des épicées. A bientôt.

  2. Cette traînée blanche. Quelle violence? quelle passion?
    Bravo pour le courage de ce coup de pinceau.

    1. Ah, merci cher Luc de le remarquer ! Il s’agit moins d’un coup de pinceau que d’un coup de couteau (à peinture) Il s’est imposé. L’idée était d’amener un élément tranché (un éclat, un reflet ?) entre la toile et le spectateur. Une fois en tête je n’ai pas réussi à m’y soustraire. Et il ne fallait pas que la main tremble. Merci de votre vigilance et de vos réflexions toujours bien venues. A bientôt…

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