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6 commentaires

    1. Ouais, ouais, ouais, bien d’accord, trop près de l’os. Mais le plaisir des ombres grises, violettes, qui creusent, durcissent, tendent la peau. A tout bientôt Célestine.

  1. Cher Soluto,
    il a fallu que je regarde un temps avant d’y voir de la beauté, et puis plus de beauté. Plus c’est long, plus c’est bon : l’adage est confirmé.
    Salutations ensoleillées

    1. Merci de votre persévérance. Il m’est arrivé, quand j’étais plus jeune, de m’efforcer à comprendre l’intérêt d’un tableau dont on disait qu’il était beau. Parfois il me fallait du temps, y revenir, persister. Mais quel bonheur quand le tableau, enfin, se levait. J’attrapais l’œuvre par une toile, un dessin, un panneau. C’était une clé. J’entrais alors dans un monde infini, plus beau et plus tremblant ou plus solide que celui qu’on prétend réel. Ma vie en était durablement chamboulée et mon regard modifié à jamais. Je suis toujours en quête de ces expériences qui se font, vieillissement oblige, beaucoup plus rare. Merci de votre commentaire et à bientôt cher lucm…

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