Insomnie…

il y a 13 ans

Soluto portrait croquis encre de chine peinture dessin

Encre de Chine  8,5 x 15 cm   Couleur numérique…

(…)

Insomnie, es-tu l’âne en peine
De Buridan – ou le phalène
De l’enfer ? – Ton baiser de feu
Laisse un goût froidi de fer rouge…
Oh ! Viens te poser dans mon bouge ! …
Nous dormirons ensemble un peu.

   Tristan Corbière (Extrait)

Exposition de dessins originaux à la Villa Perrotte….

il y a 14 ans

Villa Perrotte Soluto croquis dessins encre chine exposition vente
Accrochage Soluto novembre-décembre 2012
Dans le cadre de l’exposition collective intitulée
Cadeaux d’Artistes
(du 18 novembre au 23 décembre 2011)
la directrice de la Villa Perrotte m’a invité à accrocher quelques encres de Chine que certains d’entre vous ont déjà pu voir sur ce blog.
Chaque dessin a été réalisé sur un papier de format A4 (21 x 29,7 cm)
Il tient au mur, le bienheureux, grâce à un cadre d’une sobriété exemplaire mesurant 32 x 42 cm du meilleur effet dans tout intérieur moderne.
Quiconque souhaite avoir quelque renseignement complémentaire peut et doit s’adresser à la
Villa

où le meilleur accueil lui sera réservé…
Villa Perrotte
9, rue Jules Ferry
76200 Dieppe

tel 02 35 86 94 18
La Galerie, précisons-le, tient à la disposition de l’amateur éclairé d’autres dessins d’une aussi belle tenue. N’hésitez pas à les demander.
Ah qu’il est doux d’honorer ses amis d’un cadeau original…

Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles…

il y a 14 ans

Gainsbourg mister iceberg chou contemporain dessin  
Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
Qui font souvent le bien et peuvent tout le mal,
Et ces yeux, où plus rien ne reste d’animal
Que juste assez pour dire :  » assez  » aux fureurs mâles. Et toujours, maternelle endormeuse des râles,
Même quand elle ment, cette voix ! Matinal
Appel, ou chant bien doux à vêpre, ou frais signal,
Ou beau sanglot qui va mourir au pli des châles !… Hommes durs ! Vie atroce et laide d’ici-bas !
Ah ! que du moins, loin des baisers et des combats,
Quelque chose demeure un peu sur la montagne, Quelque chose du coeur enfantin et subtil,
Bonté, respect ! Car, qu’est-ce qui nous accompagne
Et vraiment, quand la mort viendra, que reste-t-il?
  Paul VERLAINE   (1844-1896)
 
Gainsbourg, après ce dessin, ne pouvait plus rien pour moi… J’ai préféré choisir ce poème du deuxième rossignol de la France….
 

  Et sinon, l’on trouvera ici, sur le site de L’Art sur la Planche de quoi s’offrir un original de bibi! J’en recause tout bientôt…