Acrylique sur panneau, 45 cm x 60 cm, Mars 2017
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Je ne sais plus comment c’est arrivé, mais je me revois à ce moment précis où je suis debout, silencieux, devant le grand coffre ouvert. Sans doute ai-je essayé à un moment de tirer la roue vers moi, comme je le faisais presque à chaque fois que je venais dans ce bureau. Je ne sais plus rien du probable étonnement qui a dû me saisir quand la lourde porte qu’on avait oublié de fermer s’est ouverte sans un bruit. J’ai beau multiplier les efforts de mémoire, les deux séquences s’enchaînent, distinctes, sans que je parvienne à faire la transition. Pour la première fois je suis seul devant la gueule béante de ce monstre de fonte et d’acier. Il y fait sombre, il y fait froid, un enfant comme moi, si l’on retirait les quatre tablettes métalliques, pourrait y tenir. L’idée m’en est venue et j’ai frissonné. Je me suis immédiatement senti en faute. J’ai redouté ou espéré qu’on me surprenne en flagrant délit. J’ai avancé les mains… Il y avait deux magazines, une enveloppe de papier kraft avec des photographies et trois ou quatre boites en carton. Pas de billets de banque, pas de courriers, un peu de paperasse sur la plus haute tablette… Finalement bien peu de choses par rapport à ce qu’un tel meuble aurait pu contenir de secrets…
Acrylique sur toile, 50 x 50 cm, en demi sommeil…
Et sinon, l’on trouvera ici, sur le site de L’Art sur la Planche de quoi s’offrir un original de bibi! J’en recause tout bientôt…
Un côté pile très réussi, cher Soluto.
Le rebondi est à souhait. Et la matière chaude et presque vivante.
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Et si vous voyiez le côté face ! Mais vous avez raison, j’ai réchauffé ma palette, peaufiné le joufflu, creusé doucement les reins. A très bientôt Célestine…
Je ne doute pas de la splendeur du côté face…
Mais sincèrement, ces jolies fesses sont si tentantes au toucher…
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Hum… Je vous sens des envies de danser joue contre joues… Ne vous privez pas, elles sont épilées du matin…