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11 commentaires

  1. Ah, bien ! On peut faire son voyeur… Lumineux. Il tombe côté jardin. Une envie de sieste sous le pommier. A moins que ce ne soit l’époque des cerises…

  2. « Tombes toujours » … ne tombons pas toujours ???? très beau …

  3. Joli … en fond de pièce !!!
    un petit rappel de Chaplin … super

  4. Il me file le vertige, j’ai envie de lui dessiner une échelle dans le dos.

  5. > Dites donc, Chambrun, je n’ai pas plublié ce travail dans son contexte pour que vous vous rinciez l’oeil… De plus, je n’ai même pas peint cette toile dans la salle habituelle… Je la montre plutôt pour qu’on ait une idée de sa taille… 😉 Merci de vos passages, c’est toujours un plaisir…

    > Nadège, Josée, merci de ces petits mots qui vont dans la même direction et qui me touchent…

    > Flora, Annik, c’était un parti pris d’encaisser ce personnage dans un espace un peu contraignant… Vive les diagonales… J’ai eu envie de reprendre ce dessin à la suite d’une conférence que j’ai entendue sur la Commune de Paris, mais aussi après avoir relu quelques textes de Rimbaud… J’ai aussi voulu, par rapport au travail précédent, lui donner un air plus christique. Il me semblait que tout ça allait dans le même sens…

    > Aussi ai-je été un peu surpris quand Azerty a évoqué Chaplin. Ce n’est d’ailleurs pas la seule. Une amie galeriste m’a fait la même réflexion… Du coup il n’est plus étonnant que mon personnage croule sous tant de références… vous pouvez toujours lui dessiner une échelle, je doute qu’il soit en mesure de se redresser…(merci quand même de cette gentille attention…)

    > Merci, merci à tous de vos passages… à tout bientôt…

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