
… à quand d’autres mains sur vos hanches?…
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Les voies délicieuses du salut et de la perdition (4)…
«… Ceci s’adresse à l’Artiste : cette femme-là me semble le type de la femme avec tous ses instincts, un orchestre de sentiments femelles. Or pour entendre l’orchestre on ne se met pas dedans, mais au-dessus, au fond de la salle. »
Flaubert à Louise Colet, 7 mars 1847
Samedi en Normandie, la pluie qui s’oublie sur mes vitres, le thé qui refroidit trop vite, les Delacre qui s’effritent et les miettes d’amande qui se mélangent aux chiures de gomme. Plus tard la Duvel au goulot et le jambon cru chiffonné dans son papier, le saucisson à l’ail fumé, le riz camarguais, d’hier, tassé dans un ramequin de porcelaine, une pomme et trois noix… Voluptés de la nutrition, joie de la solitude. Dessiner méchamment.
Encre de chine, couleur numérique, 15 cm x 21 cm
…
jolis dessins…………….. tjours autant de plaisir à venir par chez toi 😉
à très bientôt
china
Ohh elle doit déjà être casée, la Bernadine. Toujours délicieux.
J’aime toujours autant la façon que tu as de rendre compte des gens en été, insouciants, offerts, à demi absents, dans le vague… Quel délice!