
93 mm x 144 mm Novembre 2014
6 commentaires
Les voies délicieuses du salut et de la perdition (4)…
«… Ceci s’adresse à l’Artiste : cette femme-là me semble le type de la femme avec tous ses instincts, un orchestre de sentiments femelles. Or pour entendre l’orchestre on ne se met pas dedans, mais au-dessus, au fond de la salle. »
Flaubert à Louise Colet, 7 mars 1847
Samedi en Normandie, la pluie qui s’oublie sur mes vitres, le thé qui refroidit trop vite, les Delacre qui s’effritent et les miettes d’amande qui se mélangent aux chiures de gomme. Plus tard la Duvel au goulot et le jambon cru chiffonné dans son papier, le saucisson à l’ail fumé, le riz camarguais, d’hier, tassé dans un ramequin de porcelaine, une pomme et trois noix… Voluptés de la nutrition, joie de la solitude. Dessiner méchamment.
Encre de chine, couleur numérique, 15 cm x 21 cm
…
Ouf, ça valait le coup de patienter ! Merci de nous offrir cette tranquillité… Vos dessins sont bien plus beaux qu’ailleurs. Le meilleur pour vous cher Soluto…
Ah chère Milène, fidèle entre les fidèles, ravi de vous retrouver sur cette page! Au plaisir de vous revoir souvent…
Ça roule sans pub on peut mieux rêver !
Tant mieux Pierre. Bonne visite et à bientôt…
Bel écrin tout simple…ça fait du bien parfois de repeindre aussi les murs 😉
Je suis ravi que vous soyez passée si vite chère Amélie… Sobriété, sobriété… Oui, c’est exactement ça: laver les murs des souillures publicitaires… Et puis l’endroit était mal fichu. J’ai préféré carrément déménager, d’autant que j’ai pu récupérer une grande partie des mails postés sur Over-blog (c’est comme partir avec les meubles)…
Aller, le meilleur pour vous. Je file sur votre page… A bientôt.